FAQ : Questions fréquentes

• Les panneaux captent la lumière du soleil grâce à des cellules photovoltaïques.
• Ces cellules transforment la lumière en courant continu (DC).
• Un onduleur convertit ce courant en courant alternatif (AC), utilisable dans le logement.
• L’électricité peut être consommée directement ou injectée dans le réseau.

En France, plusieurs dispositifs soutiennent le photovoltaïque :

• Prime à l’autoconsommation (jusqu’à 500 €/kWc)
• Obligation d’achat : EDF OA rachète l’électricité non consommée
• TVA réduite à 10 % pour les installations ≤ 3 kWc

• Durée de vie moyenne : 25 à 30 ans
• Garantie produit : souvent 10 à 25 ans
• Entretien : nettoyage annuel recommandé
• Surveillance : via application ou monitoring intégré

L’autonomie énergétique totale est possible mais nécessite des batteries. Une installation classique permet l’autoconsommation partielle. Pour une autonomie complète, il faut :

• Une installation surdimensionnée
• Un système de stockage (batteries lithium-ion)
• Une gestion intelligente de la consommation
  Cela représente un investissement plus élevé mais offre une indépendance vis-à-vis du réseau.

• Sans batterie : les panneaux s’arrêtent pour protéger les techniciens du réseau.
• Avec batterie sans backup : l’installation ne peut pas continuer à alimenter le logement.
• Solution hybride avec batterie et backup : Le logement est alimenté par les batteries et les panneaux en cas de coupure de courant.

La rentabilité dépend de plusieurs facteurs :

• Coût de l’installation
• Taux d’autoconsommation
• Prix de rachat du surplus
• Évolution du prix de l’électricité
  En moyenne, le retour sur investissement est atteint entre 8 et 12 ans. Les économies peuvent dépasser 20 000 € sur 25 ans.

• Orientation idéale : sud, sud-est ou sud-ouest
• Inclinaison : entre 15° et 35°
• Surface disponible : minimum 15 m² pour 3 kWc
• Absence d’ombres : arbres, cheminées, bâtiments voisins

Nous réalisons systématiquement une étude de faisabilité avec des logiciels de dimensionnement et de simulation.

Une batterie solaire est un dispositif de stockage d’énergie qui permet de conserver l’électricité produite par des panneaux photovoltaïques pour une utilisation ultérieure, notamment lorsque le soleil ne brille pas (nuit, jours nuageux).

• Autonomie énergétique : Réduction de la dépendance au réseau électrique.
• Optimisation de l’autoconsommation : Utilisation maximale de l’énergie solaire produite.
• Sécurité : Alimentation de secours en cas de coupure de courant.

Elle stocke l’électricité en courant continu (DC) produite par les panneaux solaires. Un onduleur convertit ensuite cette énergie en courant alternatif (AC) pour alimenter les appareils domestiques.

• Lithium-ion : Légères, performantes, longue durée de vie.
• Plomb-acide (AGM, GEL) : Moins chères, mais plus lourdes et moins durables.
• Sel ou sodium-ion : Alternatives émergentes, écologiques.

Cela dépend de :

• Votre consommation électrique quotidienne.
• La puissance de votre installation solaire.
• Vos objectifs (autonomie totale, secours, optimisation).

En moyenne :

• Lithium-ion : 10 à 15 ans.
• Plomb-acide : 5 à 10 ans. La durée dépend du nombre de cycles de charge/décharge et des conditions d’utilisation.

Oui, surtout si elle permet de maximiser l’usage d’une énergie renouvelable. Il est important de choisir des batteries recyclables et de bien gérer leur fin de vie.

Le prix varie selon la technologie, la capacité et la marque. En 2025, une batterie lithium-ion de 5 kWh coûte entre 2 000 € et 5 000 €, installation comprise.

Une batterie virtuelle est un service proposé par certains fournisseurs d’énergie qui permet de stocker virtuellement le surplus d’électricité solaire injecté sur le réseau. Ce stockage n’est pas physique mais comptable : l’énergie injectée est créditée et peut être utilisée plus tard.

Lorsque vos panneaux solaires produisent plus que ce que vous consommez :

• Le surplus est injecté sur le réseau.
• Ce surplus est enregistré comme un crédit d’énergie.
• Vous pouvez utiliser ce crédit pour compenser vos consommations futures, même si elles ont lieu la nuit ou en hiver.

Cela dépend :

• Du coût de l’abonnement à la batterie virtuelle.
• Du tarif de rachat de l’électricité injectée.
• De votre profil de consommation. Elle est souvent plus économique qu’une batterie physique pour les foyers avec une forte injection et une consommation décalée.

Oui, généralement :

• Avoir une installation solaire en autoconsommation.
• Être client d’un fournisseur proposant ce service.
• Souscrire à une offre spécifique (avec ou sans engagement).

Oui, car elle favorise l’autoconsommation et réduit les pertes liées au transport de l’électricité. Elle permet aussi d’éviter la fabrication de batteries physiques, souvent gourmandes en ressources.

Voici quelques exemples de fournisseurs actifs en France :

• Mylight150
  Propose deux offres :
  • MyBattery : stockage virtuel illimité, sans matériel, à partir de 1,20 €/kWc/mois.
  • MySmartBattery : solution complète avec pilotage intelligent et suivi énergétique.
    Mylight est reconnu pour son innovation et son expertise photovoltaïque. [monkitsolaire.fr], [mylight150.com], [rr-energy.fr]
• Urban Solar Energy
  Offre de batterie virtuelle à partir de 15,51 €/mois.
  Fournisseur d’énergie verte, spécialisé dans l’autoconsommation solaire. [myelectricity.fr]
• Ekwateur
  Abonnement mensuel : tarifé selon la puissance de votre installation : 1 €/kWc/mois
  Frais d’acheminement et taxes : environ 0,10 €/kWh lors de la reprise de l’énergie stockée.